V. Schauberger était un homme droit, un homme de parole, chaleureux,
qui plaçait dans les nouvelles générations ses espoirs
de transformation bénéfique du comportement de l'homme
vis à vis de la nature. Il s'est heurté toute sa vie au
conservatisme et à la cupidité de l'establishment public
et privé. Face à l'arrogance, la jalousie ou la mauvaise
foi, il a dû parfois exposer ses idées de façon tranchante,
puisant dans sa clairvoyance la certitude absolue de ce qu'il avançait.
Précurseur comme Goethe, il était destiné à n'être
vraiment compris que plus tard. Cependant, si nous tardons à répondre à ses
exhortations principales de 1 933, à savoir reboiser la planète
(ce qui régénérera l'eau) et passer à l'énergie " libre ",
nous risquons de sombrer dans un désastre écologique irréversible.