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La gestion de l'eau En relation avec sa vie professionnelle, il dépose au cours des années 1920 des brevets pour l'invention de dispositifs de flottage du bois, de régulation des cours des rivières, de gestion de la température des barrages. A la fin des années 1920, le professeur Forscheimer, un hydraulicien de réputation mondiale à la retraite, est chargé par le gouvernement autrichien d'étudier les conceptions novatrices de V.Schauberger. Convaincu de leur bien fondé, il invite ce dernier à mettre ses connaissances par écrit, sous la forme d' un " traité sur la turbulence ", mais, le jugeant trop révolutionnaire pour être accepté par la communauté des hydrauliciens de l' époque, il se contente début 1930 de le faire déposer sous scellés à l'Académie des Sciences autrichienne, pour garantir dans le futur l'antériorité des idées de V.Schauberger. Il se ravi se pourtant peu après et fait publier en 1930-1931, sous forme d'articles dans le journal autrichien d'hydrologie "Die Wasserwirtschaft", des éléments de ce traité concernant l'effet de la température sur le mouvement de l'eau. Dans la décennie 1930, V. Schauberger se préoccupe du mauvais traitement infligé à l' eau de boisson du robinet, que ce soit dans sa préparation ou dans sa distribution. Il conçoit des systèmes pour régénérer l'eau et lui donner la qualité d'une véritable eau de source, de façon artificielle mais en imitant la nature. Cette eau régénérée est capable de provoquer la rémission du cancer chez des personnes malades. Mais comme il n'est pas médecin, il est attaqué par l'establishment qui fait détruire ses appareils par la police sous un prétexte fallacieux. En 1932, une étude officielle est lancée dans les pays riverains du Danube pour trouver des remèdes au dépérissement de ce fleuve, victime comme le Rhin des politiques néfastes de rectification et d'endiguement des berges pratiquées depuis des décennies par les hydrauliciens conventionnels. V. Schauberger fait une proposition originale, mais l'establishment autrichien la juge trop iconoclaste et la fait retirer du document officiel. En 193 3, il publie un livre " Notre travail insensé ; la source de la crise mondiale, sous-titré: La croissance par la transformation de l'atome et non sa destruction ", où il fustige les autorités gouvernementales pour leur façon de traiter la nature (gestion de l'énergie, de l'eau, des forêts, de l'agriculture, etc.) et où il indique des voies nouvelles de développement. En particulier les premières mesures urgentes à prendre sont d'une part le reboisement de la planète, indispensable pour régénérer l'eau en restaurant son cycle complet, d'autre part le passage à une nouvelle énergie propre.
Ayant compris par sa clairvoyance les processus subtils à la base du comportement énigmatique des truites, il imite la nature en inventant des moteurs fondés sur l'implosion à partir de l'eau ou de l'air, qui utilisent des énergies complémentaires autour d'un même axe ("centrifugence" et "centripètence"). L'implosion consiste à utiliser un vortex centripète pour provoquer la densification extrême et même la dématérialisation de l'eau ou de l'air, en créant ainsi un "vide biologique" d'où l'on peut en quelque sorte puiser directement de l'énergie du monde éthérique (on parle aujourd'hui d'énergie "libre" ou d'énergie "de l'espace" ou d'énergie "du point zéro" ou d'énergie des "tachyons"). Ce type de moteur nécessite une impulsion initiale, éventuellement fournie par un moteur électrique auxiliaire, mais une fois lancé il devient autonome; ce comportement est d'ailleurs semblable à celui d'un moteur à explosion lancé par un démarreur électrique. Toujours sur le principe de l'implosion, il réalise un climatiseur capable de réchauffer ou de refroidir, qui met en œuvre des types de chaleur et de froid différents de ceux connus de la science officielle ; contrairement aux appareils conventionnels, son climatiseur répartit la chaleur en bas et permet d'avoir la tête au frais. N'ayant reçu en temps de paix aucune aide matérielle de l'Etat autrichien pour ses recherches, qui nécessitaient à la fois des matériaux spéciaux et des procédés d'usinage délicats, c'est paradoxalement lors de sa coopération forcée lors de la 2ème guerre mondiale qu'il bénéficie de conditions de recherche convenables. Il les met à profit pour la mise au point de ses "disques volants", fondés sur l'implosion et qui sont à la base de la technique des soucoupes volantes, dont le développement a sans doute été poursuivi un peu plus tard par la fraction secrète de l'armée américaine (éventuellement aidée par des aliénigènes déjà détenteurs depuis longtemps de ces techniques).
Dans les années 1 948-1949, pour faire face aux problèmes de malnutrition consécutifs à la guerre, V. Schauberger cherche à améliorer l'agriculture, en tenant compte des observations qu'il avait faites des années plus tôt en Bulgarie lorsqu' on lui avait demandé la raison du moindre rendement des sols dans la partie du pays convertie à l'agriculture mécanisée par rapport à celle encore cultivée manuellement, et en s'aidant de sa perception clairvoyante des différentes énergies (qu'il nomme "dynagènes" pour la vitalité, "fructigènes" pour les fruits et semences, "qualigènes" pour les arômes) et des processus subtils à l'œuvre dans le sol. Il propose de recouvrir les charrues en fer par une couche de bronze pour éviter le contact néfaste du fer avec l'eau de la terre, il conçoit une charrue en forme de cygne pour imprimer à la terre soulevée un mouvement de lemniscate, il conseille de tracer des sillons nord-sud en zigzag et de ne pas herser pour que la terre reste en mottes inégales et passe par des phases d'ensoleillement et d'ombrage au cours de la journée, il introduit des procédés de fertilisation des sols ressemblant aux préparations bio-dynamiques, mais où intervient également l'action de métaux de polarités masculine et féminine. Malheureusement tous ces progrès, attestés par des essais, sont bloqués par les intérêts en place.
En 1950 il reprend ses recherches
sur l'implosion, la génération de l'énergie et le mouvement de l'eau,
poursuivant la mise en pratique des principes nouveaux qu'il a découverts
au fil du temps, notamment:
En 1952, à la demande de V. Schauberger et en partie à ses frais, une investigation scientifique de ses théories sur l'eau est lancée par l'Université Technique de Stuttgart, sous la direction du professeur Pöpel, d'abord hostile, mais qui devra changer d'avis à la suite des résultats d'expériences sur les pertes de charge en fonction du débit dans des tubes de différentes formes et matières : le cas d'un tube en cuivre reproduisant extérieurement et intérieurement la forme d'une corne d'antilope met en évidence le phénomène extraordinaire du passage de la pression à la succion. En 1 95 6 l'auteur et occultiste L. Brandstàtter publie un livre "L'implosion au lieu de l'explosion", sous la forme d'une suite d'entretiens avec V. Schauberger, mais ceux-ci sont malheureusement plus ou moins déformés par l'auteur. D'autre part V. Schauberger ne voulait pas d'une publicité trop enthousiaste sur l'implosion car il restait encore beaucoup de mises au point techniques à faire. Cela témoigne néanmoins du fait qu'en ce temps-là le sujet de l'implosion était débattu sur la scène publique, alors qu'aujourd'hui il est plutôt obligé de se réfugier dans la clandestinité.
Dans les dernières années de sa vie, V. Schauberger travaille
avec acharnement à la réalisation d'un générateur
familial d'énergie, car il veut doter les nouvelles générations
d'une énergie propre et autonome. Malheureusement ses moyens financiers
se limitent à sa retraite et ne sont pas suffisants pour obtenir le
résultat souhaité. Le faux espoir du séjour aux Etats
unis en 1 958 ne fera que lui apporter une déception de plus et précipitera
sans doute sa fin. |